BTEX 2025 : Comment MLSE a transformé les TI pour améliorer l’expérience des amateurs grâce à CDW
Découvrez comment MLSE s’est éloignée de l’infrastructure IT classique, en réorganisant ses plateformes pour intégrer des expériences numériques aux amateurs des Raptors de Toronto, des Maple Leafs de Toronto et plus encore.
KJ Burke, directeur des technologies de l’information sur le terrain, Infrastructure hybride de CDW Canada, s’entretient avec David Adamkowski, directeur des opérations informatiques du MLSE.
« 10 années auparavant, la mesure clé était de maintenir les opérations courantes. Notre mesure clé consiste maintenant à libérer le potentiel et à diriger l’innovation », a déclaré David Adamkowski, directeur, Opérations informatiques du Maple Leaf Sports & Entertainment (MLSE).
Lors d’une conversation révélatrice tenue à l’Expo des technologies d’affaires (BTEX) 2025 de CDW, KJ Burke, directeur des technologies sur le terrain, Infrastructure hybride de CDW Canada, s’est entretenu avec M. Adamkowski.
Leur séance a permis de mettre en lumière le parcours informatique du MLSE, du simple maintient en vie des systèmes à la création d’expériences captivantes destinées aux amateurs numériques, tout en favorisant l’innovation de l’intérieur.
MLSE – la force derrière les équipes sportives emblématiques de Toronto
Le conglomérat du MLSE est un acteur majeur de l’industrie du sport et du divertissement au Canada, détenant des franchises comme les Maple Leafs de Toronto, les Raptors de Toronto et plus encore, ainsi que des sites importants comme la Scotiabank Arena.
David Adamkowski travaille au MLSE depuis près de deux décennies, dirigeant une équipe d’exploitation des TI diversifiée. Sa portée comprend l’administration des systèmes et des réseaux, l’infrastructure en nuage, l’ingénierie de la fiabilité des sites, l’ingénierie des plateformes et les opérations de traitement des données.
« Le rôle de mon équipe chez MLSE est de fournir une base technologique capable de libérer le potentiel pour le reste de l’entreprise ainsi qu’une plateforme de lancement pour l’innovation », a partagé M. Adamkowski.
L’expérience des amateurs représente un pilier essentiel pour le MLSE
Pour le MLSE, l’engagement des partisans est plus qu’un indicateur clé de performance, c’est l’une des priorités fondamentales. En tant qu’organisation qui s’épanouit à offrir les sensations fortes que génèrent à ses auditoires les événements sportifs, le MLSE se concentre profondément sur les expériences numériques qui sont à même de rehausser l’expérience des amateurs.
« Les piliers clés de notre organisation tournent autour de l’engagement des partisans », a souligné M. Adamkowski, en notant comment cet engagement façonne tout, de la technologie sur place aux plateformes d’engagement mobiles.
Expliquant le rôle du perfectionnement des TI du MLSE dans l’expérience des amateurs, il a mentionné l’exemple de la Scotiabank Arena : « Nous avons mis beaucoup de technologie dans les espaces événementiels : il suffit de sortir, de se servir en libre-service, de commander de votre siège.
« L’idée est de raccourcir le temps que les amateurs passent loin de l’action et de leur apporter directement l’expérience du sport. »
Au-delà du site, leurs plateformes innovantes comme le MLSE Fan Access aident les amateurs à rester connectés numériquement même lorsqu’ils ne participent pas à un événement.
De maintenir les opérations courantes à stimuler l’innovation
Pour le MLSE, le rôle des TI a considérablement changé en quelques années seulement, l’innovation, les expériences numériques et la modernisation de l’infrastructure devenant des facteurs clés. Au fil des années, l’état d’esprit de l’entreprise est passé de la simple maintenance des opérations courantes à la stimulation de l’innovation.
« En 2019, juste avant le championnat des Raptors, nous étions à ce moment-là dans le nuage depuis environ trois ans », a déclaré M. Adamkowski.
« Nous nous concentrions exclusivement sur les centres de traitement des données, utilisant de nombreux logiciels prêts à l’emploi. Le monde était vraiment différent à ce moment-là. Notre objectif était de maintenir les opérations courantes et de nous assurer que l’infrastructure fonctionne. »
Il a ajouté : « Lorsque nous étions dans le nuage, nous pensions que nous disposions d’une stratégie d’abord axée sur le nuage. Mais ce n’était pas vraiment le cas. Notre stratégie initiale était peut-être une offre logicielle en tant que service (SaaS). »
Le véritable pivot a eu lieu lorsqu’un nouveau chef de la technologie et du numérique a renommé le groupe informatique Digital Labs, établissant de nouvelles attentes et faisant que le service informatique devienne un incubateur pour l’innovation. Cela a mené à une série de changements pour l’entreprise qui visaient à remanier les expériences numériques et à générer de la valeur grâce à l’innovation.
« Il était clair que nous devions proposer à l’entreprise une valeur que peut apporter la technologie, autre que l’exécution d’applications commerciales et le maintien des opérations courantes », a partagé M. Adamkowski.
« Nous avions pensé qu’il y avait une occasion d’amélioration par la création de nos propres expériences et applications, que ce soit à propos du secteur d’activité ou de la rencontre avec les amateurs. Nous n’avions vraiment pas cet état d’esprit auparavant. »
L’approche du 80 pour cent : bâtir intelligemment, mieux itérer
Au lieu de poursuivre la perfection, M. Adamkowski a introduit une stratégie intentionnelle de 80 pour cent pour leur transition vers le nuage.
« Nous avons décidé de construire 80 pour cent de ce dont nous avons besoin sur une base régulière et de laisser le dernier 20 pour cent à combler, car nos développeurs ont besoin de fonctionnalités spécifiques », a-t-il souligné.
Cette approche basée sur les garde-fous a permis une distribution plus rapide et une adoption plus fluide par l’équipe, et a réduit la charge cognitive sur l’ingénierie et les opérations. « Cela nous a suggéré un objectif atteignable, ce qui a permis à tous de s’engager davantage, puisque nous savions que nous pourrions réellement atteindre la ligne d’arrivée. », a-t-il fait remarquer.
Du nuage d’abord au nuage intelligent
En réfléchissant aux tendances plus larges, KJ Burke a noté : « Ce que nous constatons dans le contexte canadien, c’est que la stratégie d’abord axée sur le nuage a vraiment évolué en une stratégie intelligente dans le nuage. »
M. Adamkowski a fait écho au sentiment en illustrant comment le MLSE est passé d’un état d’esprit axé sur un simple réhébergement à une approche plus intentionnelle et centrée sur la plateforme.
« Lorsque vous changez de mer comme ça, tout le monde ne peut pas être à bord. De plus, vous devez déterminer comment engager vos parties prenantes au sein de l’organisation, lesquelles doivent travailler sur ces technologies et s’assurer qu’elles font partie du processus.
« Encore une fois, cela revient à cette règle du 80 pour cent : comprendre quelles étaient les exigences nous a vraiment donné confiance dans le fait que ce que nous allions développer et mettre en œuvre du point de vue de l’infrastructure allait répondre à leurs besoins. »
Comment CDW aide-t-elle le MLSE à accélérer sa transformation numérique?
CDW Canada continue de jouer un rôle important dans la transformation continue du MLSE, de ses opérations informatiques classiques vers une organisation rapide et axée sur l’innovation.
Comme l’a expliqué M. Adamkowski, leur première expérience vers le nuage a été un parcours d’autodidacte et rempli d’incertitude : « vous ne savez pas d’avance ce que vous ne savez pas encore. »
Il a aimé travailler avec un partenaire comme s’il faisait « du parachutisme en tandem. Vous savez où vous voulez aller, mais parfois, vous voulez simplement que quelqu’un tienne votre main lorsque vous sautez pour la première fois ».
Actuellement, CDW s’associe au MLSE dans le cadre d’une initiative clé visant à rendre leur infrastructure infonuagique entièrement libre-service. Elle comprend l’intégration d’un catalogue de services AWS avec ServiceNow, permettant aux équipes de développement de faire instantanément tourner les environnements d’opinion, comme les cadres de travail sans serveur ou les espaces de nommage Kubernetes, sans qu’une configuration ne doive être pratiquée par les ingénieurs de plateforme.
« Nous essayons de sortir les humains de la boucle », a déclaré M. Adamkowski, « afin de pouvoir nous concentrer sur les 20 pour cent de problèmes où se trouve la valeur réelle. »
Ce projet reflète l’évolution du rôle de CDW, passant d’un facilitateur d’infrastructure à un cocréateur stratégique de plateformes d’innovation évolutives s’adressant aux développeurs.
L'occasion à venir grâce à CDW
M. Adamkowski a réfléchi à la collaboration avec CDW : « Du point de vue expérientiel, nous avons obtenu tout ce que nous attendions », et nous avons maintenant hâte de nous engager avec CDW pour aborder les nouvelles technologies à mesure qu’elles émergent.
Au cours des dernières années, CDW Canada a suivi le rythme du contexte technologique canadien en constante évolution. M. Adamkowski s'est montré très intéressé à la façon dont le portefeuille de solutions en évolution de CDW peut aider le MLSE à se moderniser à l'avenir et à reproduire les mêmes résultats pour les projets futurs.
Il a également mentionné à quel point CDW continue d’ajouter de la valeur à le MLSE : « Lorsque CDW nous apporte de nouvelles possibilités et idées, nous apprécions que ses experts intègrent ce qu’ils savent de notre entreprise et de la façon dont nous aimons fonctionner. Ceci est précieux pour tous parce que le monde change si rapidement.
« CDW mérite notre confiance et participe à notre réussite; ses experts connaissent certaines possibilités mieux que moi. »